Le 20 mars 2024, la Cour Nationale du Droit d'Asile (CNDA) a accordé le bénéfice de la protection subsidiaire à une ressortissante congolaise.
Mariée de force, isolée et régulièrement battue par son époux, elle a fui son pays consciente qu'elle finirait par mourir sous les coups.
Rappelons que la violence, notamment sexuelle, à l'égard des femmes et filles congolaises sont endémiques en RDC et que les autorités sont incapables voire réticentes à en protéger les victimes.
Belle victoire pour le cabinet !
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